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Avis, informations de contact pour Galerie Agathe Gaillard

Galerie Agathe Gaillard
"La Galerie Rouge, adresse mythique de la rue du Pont Louis-Philippe, attire depuis 1975 les passionné.e.s de photographie. Nous continuons aujourd’hui à aimer, exposer et vendre avec une grande exigence des beaux tirages photographiques qui émeuvent au premier regard et des images qui transforment notre rapport au monde. Représentante des Fonds Manuel Álvarez Bravo, Édouard Boubat et Jean-Philippe Charbonnier, la galerie soutient également le travail de photographes contemporain.e.s reconnu.e.s ou émergeant.e.s."
Adresse: 3 Rue Pont Louis Philippe , Paris 75004, FR
numéro de téléphone: 01 42 77 38 24
Ville: Paris
Itinéraire: 3 Rue Pont Louis Philippe
Code postal: 75004


Horaires d'ouvertures

Mardi: 14:00-19:00
Mercredi: 14:00-19:00
Jeudi: 14:00-19:00
Vendredi: 14:00-19:00
Samedi: 14:00-19:00


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Avis
Je donne rarement mon avis publiquement mais cette fois-ci je fais une exception pour cette remarquable galerie. J'y suis allé ce 7 janvier, un peu par hasard, même si je connais ce lieu emblématique. Je revenais de la dernière expo de stéphane Couturier que j'adore et j'ai décidé de franchir le pas de la porte, attiré par le titre "chicago". Et là, un grand bonheur. Déjà les galeristes sont fort sympathiques, elles vous parlent avec le sourire, vous présentent le travail exposé, vous accompagnent juste ce qu'il faut. Ça change de beaucoup de galeries... Ensuite, l'expo en elle-même : rien à jeter, une vraie cohérence en termes de photographes, de qualité, de propos entre le travail des précurseurs de cette "école de Chicago" la vraie, pas celle des économistes pourris..., les ishimoto, josephson, metzker etc. et la nouvelle génération clarissa Bonet, todd Diederich, de très belles découvertes. Quel bonheur pour moi de voir des oeuvres d'ishimoto et de Barbara Crane, trop peu exposés en France ! Des portraits de Metzker aussi. Les 3 parties de la galerie avaient chacune leur thématique permettant de guider le regard sur des ensembles liés. Les tirages étaient vraiment bons et les prix tout à fait abordables vu la qualité. Bravo ! Vivement la prochaine expo. Alexis
Une belle découverte que ce photographe Édouard Boubat exposé actuellement dans cette jolie galerie, "la douceur du regard" , doux comme l'atmosphère feutrée de la galerie, et doux aussi comme l'accueil que j'ai reçu.
Une Galerie historique ouverte en 1975 qui vient d'être reprise par une équipe dynamique, sympathique, avec des choix artistiques très raffinés, à la hauteur de nos espérances pour ce lieu mythique. Bravo à la nouvelle équipe et longue vie à la galerie Agathe Gaillard.
excellente galerie qui rend honneur à sa propre histoire et sait se renouveler avec excellence lors de chaque nouvelle exposition.
La première galerie mythique dédiée à la photographie
Traduit par Google TRÈS BON ET TRÈS MAUVAIS : La sage décision qu'a prise le gouvernement français, quel qu'il soit, a été de reprendre ou de considérer la photographie comme une sorte d'affaire d'État. Le seul pays d'Europe à avoir fait de même est la Finlande, accordant un soutien de très longue date à ses plus grands photographes. J'ai commencé à connaître Agathe Gaillard elle-même et la galerie, sans souvenir précis, au tout début des années 1990, connaissant également à cette époque Edouard Boubat en personne. Je me souviens encore d'un moment très particulier, lorsque j'ai acheté après la mort de Boubat, en 1999 deux tirages de lui, et il y avait "Saut de Pont de L'Europe", un très célèbre tableau de Cartier-Bresson, exposé à "la vitrine". Nous emballions les autres tirages. et quelqu'un est intervenu, demandant le prix. C'était quelque chose, car les estampes de Cartier-Bresson étaient fabriquées en monnaie américaine, dépassant 3.000,- Dollars, et le gars est sorti en disant "trop ​​cher", ce qui vous ferait pleurer aujourd'hui. Il est difficile voire très douteux de dire si la nouvelle galerie Agathe Gaillard bradée pourra être dans la lignée de ce qu'elle était, mais c'est bien que l'endroit si chargé de souvenirs ne se soit pas perdu. +++ Mise à jour, avril 2019 et automne 2020 : Il y avait des tirages exposés, provenant de Bernard Boubat, le fils, de Boubat. La jeune femme alors en charge a surtout regardé dans son ordinateur. Il ne semble pas qu'elle comprenne de quoi sont faits les collectionneurs. Un certain nombre d'estampes auraient dû être retouchées, mais cela n'a pas été fait. J'ai ressenti beaucoup de douleur, car cela a été un endroit très particulier. Et l'histoire continue car c'était vraiment une sorte de « lieu sacré » lieu sacré en Français, mais cela ne sera guère respecté. Il y a de quoi faire ou pas. Il semblerait que le "repreneur" connaisse Emmanuel Macron. Seul : L'argent ne remplace pas le vieil esprit. C'est le problème avec Investment Bankers ! - Une fois Agathe Gaillard, par-dessus son bureau, m'a parlé d'André Kertesz. C'est de cette mesure dont nous parlons. Ainsi, certains éclaircissements ne seraient pas nécessaires. +++ Un jour plus tard, je suis allé à la Galerie Hug, rue de Seine. C'est comme Agathe, en son temps ! ++ Heureux de mettre plus d'étoiles si justifié ! Mais ça n'a pas l'air bon ! La "Galerie" aurait dû être achetée par quelqu'un d'autre. Regret, dans l'ensemble. Avis d'origine VERY GOOD AND VERY BAD : The wise decision that the French government, who ever it was, took,was to take up or consider photography as a kind of state affair. The only country in Europe which did the similar is Finland, granting very longtime support to its leading photographers. I started to know Agathe Gaillard herself and the gallery , without precise remembrance, in the very early 1990s, also knowing by that time Edouard Boubat in person. I still remember a very special moment, when I bought after the death of Boubat, in 1999 two prints of him , and there was "Saut de Pont de L'Europe", a very famous picture of Cartier-Bresson, shown at "la vitrine". We were packing the other prints. and somebody stepped in, asking for the price. It was something, as the prints of Cartier-Bresson were factured in US currency, exceeding 3.000,- Dollars, and the guy stepped out, saying "too expensive", which would make you cry today. It is hard or very doubtful to say if the new gallery Agathe Gaillard sold off will be able to be in line what it was, but it is nice that the place endroit so full of memories did not get lost. +++ Update, April 2019 and Autumn 2020 : There were prints exposed, coming from Bernard Boubat, the son, of Boubat. The young lady then in charge mainly looked in her computer. It does not seem that she understands what collectors are made of. A number of the prints would have needed retouche, but this was not done. I felt a lot of pain, as this has been a very particular place. And the story goes on as this was really a kind of "sacred place" lieu sacré en Francais, but this will be hardly respected. There is quite something to do about or not. It seems that the "repreneur" is acquainted with Emmanuel Macron. Alone : Money does not replace the old spirit. This is the issue with Investment Bankers ! - Once Agathe Gaillard, over her desk, told me about André Kertesz. That is the mesure we are talking about. Thus, some clearing up would ne needed. +++ One day later, I went to Galerie Hug, rue de Seine. This is like Agathe, in her times ! ++ Happy to put more stars if justified ! But is does not look good ! The "Galerie" should have been bought by someone else. Regret, overall.
Traduit par Google Très bon Avis d'origine Vrlo dobro
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